Les cordées de la réussite

dans leur premier « jeu de rôle » inter établissements

Le vendredi 9 Février s’est déroulée au lycée la dernière phase du challenge « Le Candidat », dans le cadre des projets portés par la cordée de la "Ambition-réussite" du Lycée du Granier, en collaboration avec le Lycée de La Cardinière.

Durant le mois de Novembre, les étudiants de 1^ère année de BTS SAM ont endossé le rôle des recruteurs, dans un scénario créé pour l’occasion : le Groupe Virgin (filiale française) doit pourvoir 4 postes dans le domaine de l’accueil, de l’administration et de la gestion du personnel. Place donc au jeu de rôle, et immersion dans le contexte professionnel : on développe les fiches de poste, on créée les annonces d’offres d’emplois et on met en ligne la communication digitale : mini site et page Instagram. Une adresse email est également inaugurée, pour recevoir les candidatures aux postes…

Pendant ce temps, un groupe d’élèves de TERMINALE AGORA du Lycée de la Cardinière et membres de la cordée Ambition-Réussite, « chauffaient les moteurs » en se préparant à leur rôle de candidat à l’aide des conseils de leurs professeurs et d’un coach RH : comment écrire un bon CV et une bonne lettre de motivation, comment se préparer à l’entretien de sélection ?

De leur côté, les recruteurs de BTS SAM  prenaient leur mission très au sérieux : analyse et sélection des candidatures, création de la grille d’entretien à l’oral avec les questions à poser.
 

Le jour « J », les 8 candidats du lycée de La Cardinière, et les recruteurs du lycée du Granier se sont finalement rencontrés, pour l’exercice de jeu de rôle conclusif. Des entretiens menés judicieusement mais avec bienveillance, pour en arriver à la sélection finale des quatre candidats pour autant de postes à pourvoir.

Scénario et jeu de rôle validés par l’ensemble des participants, qui ont apprécié le côté « crédible » de l’exercice, qui leur a permis de jauger leur capacité à gérer une situation potentiellement difficile mais riche en enseignements pour le futur.  Faire « comme si on y était » est toujours la meilleure projection de soi à l’œuvre, et facilite l’ancrage des savoirs et des savoir-faire.